La poésie d’un feu follet dans les bois. Virevolter parmi les arbres. Suivre le souffle du vent. Avoir conscience de ce qui nous entoure. N’avoir pour but rien d’autre que sa propre survie. La poésie d’un instant figé dans le temps… du moins jusqu’à ce que débarquent les araignées.

Onibi – qui signifie feu-follet en japonnais – vous met au contrôle d’une boule de pure énergie. Dans une ambiance poétique et dans un univers d’aventure et sur fond de musique symphonique le jeu vous propose de vivre l’aventure comme un voyage. Au sein de différents tableaux, le joueur se perdra en forêt et rencontrera de nombreux défis. Armé de sorts, le personnage pourra les lancer à la seule condition d’avoir assez d’énergie pour cela. Car sans énergie plus d’aventure… le jeu s’acheve.

Le but du jeu est aussi simple qu’onirique : sauver la forêt en réveillant les gardiens. Ces gardiens sont au nombre de 7 et il faudra accumuler assez d’énergie au court du voyage pour les tirer de leur sommeil. Que ce soit pour le réveil ou pour le moindre déplacement, tout se passe dans l’échange.

Lors de la présentation, Adrian accompagné de son équipe (Sephora, Joris, Maxime, Thomas, Cyril et Vincent), nous a présenté une scène de Onibi. La vie de feu-follet n’est pas simple tous les jours. Un combat acharné contre une araignée a vite mi fin au voyage de notre boule d’énergie. Les inspirations d’origine n’ont pas été trahies puisque, dès le pitch, Adrian parlait de l’ambiance de Princesse Mononoké et Baldur’s Gate. Pari réussi grâce à des graphismes de haut niveau et une ambiance sonore originale à la hauteur des inspirations.

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